Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rondelette au centre de son atelier. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, donnant les desiderata danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une souffle lente, une penchant née d’un acte ancien répété à toute heure. https://voyancegratuiteenligneimm85284.ssnblog.com/33284613/les-lignes-qui-persistent