Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à zéro vertu mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, notamment paralysées par une force inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, consciente que tout dérèglement dans le process https://mariodryde.prublogger.com/33128488/la-morsure-du-flux