À Los Angeles, en 2068, les houilles de verre filtraient la luminosité comme des cartes de tarot glacées, et en haut d’un immeuble sans entreprise, un noyau d’appels opérait dans le plus très large anonymat. Aucune pancarte à bien l’entrée, pas de logo sur les murs. Seulement une chambrée divisée https://paxtonhosvx.bloguetechno.com/le-centre-d-appels-des-disparus-69084805