Le vent marin caressait mollement la surface de l’eau, embrasant de légers remous qui venaient lécher les rives sableuses de l’île. Les anciens du village se tenaient en silence sur prendre le soleil, adoptant la mer comme ils le faisaient depuis longtemps. Ils savaient que les fréquents n’étaient pas de https://edgaritzeg.blogminds.com/les-courants-de-l-invisible-31022740