L’archéologue scrutait l’horizon, les sables dorées s’étirant de façon identique à un océan figé par-dessous la luminosité du soleil déclinant. Le vent continuait de solliciter des volutes de poussière, mais son corps était ailleurs. Les ombres qu’il avait vues un instant plus tôt n’avaient laissé zéro indice, zéro cicatrice dans https://cesarakqvz.ssnblog.com/32933085/les-ombrages-sous-le-sable