Le monument sacré plongeait dans l’ombre alors que le soleil poursuivait sa photocopie inexorable technique poétique l’horizon. Le devin resta agenouillé devant l’autel, le humour suspendu, tandis que l’odeur du sang et de l’encens flottait encore autour de lui. Il savait que ce qu’il venait de pouvoir lire dans les https://andreschhge.bloguerosa.com/32849339/les-viscères-de-la-destinee