La demeure abandonnée se dressait au sommet d’une colline, balayée par les vents glacés de Roumanie. Ses murs de pierre, rongés par le temps, semblaient englober encore les murmures d’une ère ancienne. Personne n’osait s’y aventurer, mais pour Adrian, un débonnaire en disgrâce, cet situation représentait son dernier refuge. Chassé https://louiswacaz.vidublog.com/32859566/les-cartes-sans-faciès